lundi 27 avril 2009

Jayeuzanifersère

Le 15 avril, Manon a eu un an.
Clément a :
- soufflé ses bougies
- chanté (gueulé ?) Jayeuzanifersère Manoooooon
- ouvert ses cadeaux
- mangé son gâteau


Le 26 avril, Mamie a eu [*censuré*] ans.
Clément a :
- soufflé ses bougies
- chanté (gueulé ?) Jayeuzanifersère Mamiiiiiiiiie
- ouvert ses cadeaux
- mangé son gâteau


Le 27 avril, Ungaro a eu 6 ans.
Clément a :
- fait un gâteau
- chanté (gueulé ?) Jayeuzanifersère Ungalooooooooo
- soufflé ses bougies
- mangé son gâteau

C'est chouette, les anniversaires des autres. 

Jayeuzanifersère Manooon !


Jayeuzanifersère Ungalooooo !

samedi 18 avril 2009

Manon, un an et...

Manon, un an et...
 
... deux dents !

Vous les voyez là, vous les voyez ?
J'espère. Parce que j'ai galéré pour la prendre cette photo.

dimanche 5 avril 2009

MON coin

Manon se déplace.
Elle a une curieuse façon de faire, elle reste assise sur son popotin, les jambes en fente, une devant une derrière, elle plaque les mains loin devant elle et fait glisser son popotin.
Niveau prise de son, ça donne à peu près ça : plaf (mains qui plaquent) zouuuic (popotin qui glisse) plaf zouuuic plaf zouuuic plaf zouuuic plaf zouuuic.
Et ça peut aller vite.

Clément est un peu surpris par cette nouvelle technique, il est surtout surpris de voir sa soeur mettre son propre bordel dans son petit bordel personnalisé bien à lui.

Alors des fois, il s'énerve.
"Non Manon, c'est À MOI ça !" et il reprend possession de son dû.
Il reprend tellement possession d'ailleurs, qu'il n'a pas assez de ses petits bras pour accueillir tout ce qu'il veut soustraire à sa soeur.

Alors des fois, il s'énerve encore plus.
Et il la tape.
Et il se retrouve au coin. Non mais.

Plaf zouuuic plaf zouuuuic plaf zouuuic.
Manon se radine près du coin pour voir ce que devient son frère.
Clément interrompt ses hurlements d'enfant martyr :
"Non Manon, c'est MON COIN Manon ! c'est MON COIN !"





Clément et Lorette sur la terrasse.
Un ptit coin d'parapluie contre un coin d'paradis...

jeudi 2 avril 2009

La fête du slip

Au début, je voulais intituler cet article : la journée sans couche.
Il y a bien des journées sans bagnole, des journées sans tabac, pourquoi il n’y aurait pas des journées sans couche ?
Parce que quand je vois Clément baigner dans son jus pendant des heures sans que ça lui fasse ni chaud ni froid et que je vois la rentrée en maternelle qui approche à grands pas, j’ai des sueurs froides.

(Si les professeurs des écoles écoutaient leur cher ministre, ils sauraient au moins changer des couches à défaut d’instruire les enfants, et ça m’arrangerait.
Mais ils n’écoutent pas leur ministre, qu’est-que ce que vous voulez que je vous dise ?
Mais fermons la parenthèse.)

Alors aujourd’hui, c’est décidé, c’est journée sans couche.
J’aime le risque.

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Bilan de la journée :
Oui, c’était bien la fête des slips (au pluriel, il a fallu tourner, un qui éponge, un qui sèche)
Oui, ils ont dérouillé.
Non, vous n’aurez pas les détails.


(Et s’il avait raison, le père Darcos finalement ?)